Dérapage au champagne

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il y a 6 ans

Dérapage au champagne

« Il y a un moment, entre la quinzième et la seizième gorgée de champagne, où tout homme est un aristocrate », selon cette chère Amélie Nothomb. Eu égard à la richesse de son imagination créatrice, je pense qu’elle sera d’accord avec moi pour déclarer que, si le champagne « anoblit » nos hommes, il contribue également à éveiller nos idées coquines ! Pour célébrer mon anniversaire comme il se doit, mon chéri avait déposé, en plus d’un joli paquet dont le contenu n’a pas fini de me faire vibrer de plaisir, deux bouteilles de ce stimulant nectar sur la table du salon.

Je me suis affairée dans la salle de bain, traquant quelques poils récalcitrants dans mes replis intimes. Je sais que Jean-Louis adore passer de longs instants à me lécher, et la perspective de bientôt jouir dans sa bouche me faisait déjà durcir les seins. Mon clitoris, sous l’action conjuguée du rasoir, de mes doigts et des idées libidineuses qui m’accaparaient l’esprit, commençait lui aussi à gonfler. J’étais déjà brûlante de désir : la soirée s’annonçait torride. En bas, au salon, mon doudou m’attendait de pied ferme. Ou plutôt de sexe ferme devrais-je dire car, lorsque je suis entrée dans la pièce avec rien d’autre sur moi qu’une courte tunique, il se caressait sur le canapé en surfant sur les différents sites amateurs où nous publions régulièrement des photos et des vidéos.

Après nous être fait « quelques flûtes », j’ai saisi une bouteille dont j’ai tété et titillé le goulot du bout de la langue en gratifiant mon chéri d’un regard de cochonne. Il raffole de ce genre de préambule. Je sentais (et voyais) le désir monter en lui. Son sexe dressé semblait lui faire mal, et il ne pouvait s’empêcher de le toucher et de le serrer, comme pour lui intimer l’ordre de se calmer. Pour autant, il ne paraissait pas disposé à se jeter tout de suite dans la bataille. Il s’est confortablement installé face à moi, les pieds sur la table du salon et les cuisses généreusement écartées. Il sait que j’aime le voir dans cet état d’excitation. J’adore qu’il fasse perler quelques gouttes de liquide séminal au bout de son gland. Il joue avec, en étirant de longs filets que j’aime sucer sur son doigt. Le spectacle de mon doudou raide et humide de désir m’a rendue encore plus coquine. J’ai alors décidé de pousser la douce t o r t u r e de l’attente en jouant un petit peu avec cette première bouteille de champagne. J’ai enfoncé le goulot dans ma bouche en lui imprimant des va-et-vient que je voulais aussi suggestifs que possible.

Les bruits de succion du goulot entre mes lèvres plaisaient beaucoup à Jean-Louis, qui m’a demandé d’un air coquin ce que j’envisageais pour la suite. Le filet de salive qui ruisselait de ma bouche sur mon menton a goutté entre mes seins à cet instant précis. Cela m’a inspirée : j’ai salivé abondamment entre mes seins et, après avoir entièrement enduit ma poitrine de bave, j’ai joué un moment avec mes tétons. Puis, j’ai placé le goulot de la bouteille entre mes seins et je l’ai serrée en fixant du regard le sexe de mon chéri qui, sous la pression de ses doigts, avait atteint une jolie teinte rougeâtre, voire bleutée au niveau du gland. Je me suis assise sur la table du salon, face à lui, et j’ai entrepris de me caresser avec la bouteille. Je l’ai posée sur la table et je me suis empalée sur le goulot en écartant mes petites lèvres. J’ai bougé les reins d’avant en arrière sur le verre qui est rapidement devenu glissant de mes sécrétions. Juste avant de mouiller la table, je me suis relevée et j’ai donné la bouteille à lécher à mon chéri, en guise d’amuse-bouche.

C’est à ce moment, je crois, qu’il a eu l’idée du « bouquet final », c’est-à-dire le fantasme qu’il avait en tête ! Il a commencé par détacher délicatement l’habillage métallique du goulot, sans le déchirer, en me lançant un coup d’oeil complice. Puis il a posé la bouteille debout, sur la table après avoir salivé sur le goulot. Entendu mon amour, ai-je pensé en m’asseyant doucement sur le flacon. Ma chatte gourmande et maintenant absolument trempée en a avalé sans problème quinze à seize centimètres. Vous savez, ces fameux centimètres qui transforment toute lady en avide nymphette ! Jean-Louis s’est approché et a tenu la bouteille à deux mains pour que je puisse la chevaucher plus facilement. Il me titillait le clitoris du bout de la langue à chaque passage de celui-ci devant sa bouche. J’ai eu mon premier orgasme de la soirée. Un orgasme par bouteille de champagne ! Joli programme… D’autant que j’étais de nouveau assoiffée ! Vingt minutes plus tard, allongée sur la table, j’ai encore joui dans la bouche de mon amour. Il m’a ensuite embrassée goulûment. J’ai été picotée par sa barbe trempée de mes fluides intimes. Étonnante sensation, pas du tout désagréable, dois-je avouer ! J’avais presque l’impression de me lécher moi-même ou de lécher une founette amie (Virginie, Pitchoune, Nat ou Isa, pour n’en citer que quelques-unes). Après une longue et délicieuse levrette qui s’est soldée par un troisième orgasme, j’étais comblée. Il ne me restait plus qu’à rendre la pareille à mon amour, ce qui ne manquerait pas de provoquer en moi, sinon un quatrième orgasme, du moins un intense plaisir.

Avant de me laisser jouer avec son sexe, il l’a coiffé des accessoires prélevés sur la bouteille. Mmmh, encore une occasion de faire sauter un bouchon de champagne ! J’étais enchantée par l’idée. Je n’ai pas pu m’empêcher de goûter le filet de liquide qui perlait, directement au goulot ! J’ai dégagé tout le gland avec douceur en laissant l’habillage de métal sur la queue. Cette soirée d’anniversaire sur le thème du champagne m’excitait décidément beaucoup! J’alternais les caresses sur le bout de mon chéri, que la pression de ma main sur la hampe rendait très dur et tout lisse comme j’aime. Je titillais son petit trou de la pointe de la langue et je m’amusais à aspirer son gland entier.

Je promenais ma langue tout autour, dans les moindres recoins. Finalement, j’ai intensifié mes caresses en léchant le frein avec vigueur de bas en haut, tout en secouant rapidement la tête de gauche à droite. Je sentais que l’explosion était imminente. Pour une fois, j’ai été ravie de faire jaillir moi-même le nectar de la bouteille et d’en mettre un peu partout.

Je suis restée un bon moment à regarder couler ce délicieux jus d’amour le long de l’étiquette et à le déguster directement sur mes doigts, ainsi que sur le beau flacon de mon amour, naturellement ! Nous nous sommes promis de ne pas attendre le prochain anniversaire vant de renouveler l’expérience !

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